Les différentes études conduites à travers le monde prouvent que ces petites parcelles de nature peuvent contribuer à :

• La séquestration du dioxyde de carbone ;
• L’adaptation des villes à la hausse des températures ;
• Accroitre la biodiversité (plantes, champignons, mousses, lichens, insectes, oiseaux, petits mammifères, etc.) en comparaison des forêts naturelles alentours ;
• Permettre d’aider à réduire les inondations lors de fortes précipitations ;
• Abaisser la température ambiante pendant les vagues de chaleur, par l’ombrage et l’évaporation.
• Filtrer l’eau en réduisant les polluants biologiques et chimiques ;
• Réduire les risques d’érosion ;
• Proposer des endroits de bien-être pour les populations voisines.

Dans cette démarche, l’impact sociologique de ces plantations est également important voire indispensable, puisqu’il repose sur la participation aux plantations de groupes humains (riverains, collègues, classes, etc.).

Vous souhaitez échanger avec nous sur ce projet ? Nous définirons ensemble les démarches, les objectifs et les moyens pour adapter cet écosystème en fonction de votre cahier des charges.

Akira Miyawaki, botaniste japonais contemporain, expert en biologie végétale et professeur à l’université nationale de Yokohama a élaboré et mis en pratique la méthode de reforestation « senzai shizen shokysei », soit la « végétation potentielle naturelle ».

Lorsque l’on créé un jardin, on joue d’ordinaire sur les volumes, les hauteurs, les perspectives et points de vue et les végétaux sont le plus souvent organisés en fonction de leurs besoins, de leurs affinités, de leurs couleurs, de leur période de floraison, de feuillaison ou encore de fructification mais beaucoup plus rarement en fonction de leurs parfums, de leurs goûts, des sensations qu’ils génèrent lorsqu’on les touche et encore moins du plaisir qu’ils
procurent lorsqu’on les écoute…

Notre approche va éveiller en vous une promenade sensorielle étonnante à la découverte du monde végétal !

Les jardins naturels et sauvages sont intéressants à bien des niveaux : ils sont beaux tout au long de l’année, ils sont peu contraignants, ils supportent mieux les aléas climatiques, ils permettent d’évacuer le stress accumuler au fil des jours et ils proposent un refuge idéal pour toute une faune sauvage : oiseaux, mammifères, amphibiens, insectes, araignées, etc.
Ils permettent une gestion globale des ressources, de prendre en compte le stockage de l’eau, l’optimisation des arrosages, l’amendement, la gestion des « déchets » verts, etc.

A nos yeux, ce type de jardins est aussi l’occasion d’agir, d’apporter sa pierre à l’édifice… Vous connaissez la légende du colibri et de son bec rempli d’eau qui tente d’éteindre un feu de forêt ?

Proposez à vos équipes d’être actrices d’un projet vertueux en co-créant un jardin potager d’entreprise ! C’est l’occasion rêvée de voir germer des idées novatrices, une nouvelle source de motivation et d’attachement à l’entreprise, une autre façon de se connaitre et de travailler ensemble sans parler des valeurs et des convictions
clairement affichées pour insuffler une nouvelle énergie d’entreprise, recruter de nouveau talents mais aussi intéresser de nouveaux clients.

Plus de sens, plus de motivation…

Dans l’esprit de la Charte de Florence (ICOMOS, 1981), nous considérons chaque jardin ancien comme un monument vivant, façonné à la fois par les cycles naturels et par l’intention humaine qui l’a créé. Restaurer un jardin, c’est retrouver l’équilibre subtil entre son histoire, ses structures végétales et architecturales, et les usages contemporains, souvent liés à l’événementiel, auxquels il doit pouvoir s’adapter sans perdre son âme.

Notre intervention s’appuie sur une lecture botanique fine : chaque élément compte et toute action de conservation, de restauration ou de restitution doit prendre en compte la totalité du système paysager, dans sa cohérence et sa complexité.